J'aime me renseigner un peu sur les enseignes à qui je donne mon argent.
C'est en achetant mon dernier legging (parfait cela dit en passant) chez Black Milk que je me suis un peu plus pencher sur cette marque d'abord connu pour ses leggings galaxie. J'ai été d'autant plus contente de mon achat lorsque j'ai commencé à lire de " About us " du site ou James Lillis commence l'histoire de la marque comme la narration d'un film à succès...
"If you really want to know how it happened, very well - grab yourself a cup of coffee and a bag of chips, settle into a nice comfy chair and I'll tell you the epic tale that is…the Black Milk saga."
Ses ambitions n'étaient au début que de payer son loyer et " ses nouilles" jusqu'au jour ou il a voulu faire quelque chose de ses mains. "Mais pas de la guitare, pas du golf..." Il achète alors une machine à coudre grâce à un préteur sur gage à qui il donne son lecteur CD...
Une fois la machine en sa possession, il se rend vite compte que les seuls tissus qu'il peut se permettre d'acheter sont des tissus extensibles. Tissus dont il tombe amoureux.
Et c'est à ce moment de son récit que je tombe a mon tour amoureuse de son histoire et de sa détermination : a chaque $ gagné, il acheté du tissu ou des aiguilles... Sa nourrir était constitué que de fruit qu'il avait dans son jardin ( pour ne pas dépenser son argent à autre chose).
C'est là que l'on reconnaît une chose : la motivation et la volonté font la réussite.
C'était dans un premier temps une démarche de création et non de vente : c'est une connaissance qui lui servait de modèle qui lui a demandé si elle pouvait acheté ce qu'il lui faisait porter.
Après pas mal de refus de la part de différentes enseignes, une boutique lui attribue un petit coin dans le but d'exposer différents leggings. En plus de ce lieu de vente permanent, James Lillis tiens un stand sur les marchés tous les samedis... sans que cela ne lui permette de vivre correctement.
C'est grace à son blog que la machine se mit réellement en route et qu'il se retrouva avec plus de commande via internet que part le biais de la boutique et des marchés qu'il faisait.
Nait enfin en 2009 le site que nous connaissons tous... Black Milk.
Certes, les leggings ne sont plus cousu par le créateur en personne mais par une équipe en Australie ( et non des petits chinois dans une cave...).
*soupir*
L'achat de mon legging s'est transformé en la participation à une réussite.
James Lillis... Thank you.
" Of course, some things will never change. I still love making clothes. I love seeing all the different ways girls style their Black Milk pieces. Yeah, I even still love eating mangoes. So who am I? Just the guy with the coolest job in the world. :) "
Site de vente Facebook Tumblr @BlackMilkTweets
J'ai presque regretté d'avoir mis autant d'argent dans un legging. Mais non. Non non non !
Juste une chose : vivement qu'il arrive dans ma boite au lettre !
Sharkies !
